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Notre ambition est que cette page puisse servir à publier un article intéressant écrit par l'un d'entre nous, ou toute lettre qui me serait communiquée , même s'il s'agit d'une copie d'article ou de lettre destinée à être publiée par ailleurs dans tout autre support papier.
Un avantage: les articles sont immédiatement disponibles, sans attendre la parution sur support papier.
Un second avantage, les articles qui gardent une valeur dans le temps et n'ont pas un caractère d'actualité pourront être archivés avec un petit résumé et une possibilité de téléchargement
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Edouard MENJOU chevalier de l'ordre du mérite
Viir l'article "MENJOU"

Hommage à M. FOACHE
Lorsqu'en octobre 1951 je suis entré tout petit et tout ému en 6ème A1 dans la cour Chevassus qui mesurait le triple de ma cour familière de l'école Paixhans, que je fus entouré et bousculé par une foule de gamins qui me parut innombrable, et que je me retrouvai ballotté et effrayé dans une salle de classe située dans le coin gauche de cette même cour devant un professeur dont la stature me parut colossale, je n'en menais pas large.
Ce "colosse" nous regarda nous installer puis se dirigeant vers le tableau, il nous dit avec un sourire bienveillant "Mon nom est Monsieur FOACHE" et il écrivit son nom sur le tableau noir. Ce fut la première et la dernière fois qu'un de mes professeurs prit cette peine et je lui en fus reconnaissant car le fait de nous donner son nom avait fait de lui un homme accessible et non un professeur redoutable.
Plus tard en 1962, lorsque je fis un bref séjour dans l'enseignement au Lycée Paul Valéry à Paris, mes premiers mots à mes élèves furent "Mon nom et Monsieur BELASCO" et d'écrire mon nom au tableau vert (la couleur avait changée avec l'époque).
Ce fut ma façon de rendre hommage à celui qui fut mon premier professeur.
Amicalement - Henri BELASCO

Les Souvenirs de J-P DUCASSE
Professeur de Lettres de 1948 à 1956


Documents inédits !

Les cahiers de remise des Prix: Cela vous rappelle-t-il quelque chose?
Celui de 1953 nous vient d'Eric Strullu et Pierre Barisain nous propose celui de 1931 ! Qui dit mieux ?

 


ceux qui le souhaitent peuvent même relire le discours de M. Léon VASSEUR professeur d'Histoire et Géographie prononcé à cette occasion. Cliquer ici !

En cadeau

Cette magnifique photo de la porte d'entrée de notre lycée, épreuve prise par Eric STRULLU en 1986 lors d'un passage par Oran.
Deux autres vues prises le même jour sont également disponibles à la rubrique "Photos"



Lamoricière ... 2000 !

Notre ami Raymond Mateo a eu l'occasion de pénétrer dans le lycée tout dernièrement. Voici ce qu'il nous en rapporte:

Ex élève du lycée Lamoricière, je suis - après 40 ans d'absence - de retour d'Oran.
Des nouvelles du lycée Pasteur - c'est son nouveau nom - fermé depuis 5 ans environ suite à décision du consulat de France.( information à vérifier ...)
j'ai pû y entrer grâce à l'amabilité du gardien qui m'a fait faire le "tour du propriétaire" dans la partie inoccupée de l'établissement,depuis la façade principale face à la rue Lamoricière jusqu'à la dernière cour arrière ou nous disputions des petites parties de foot pendant les récrés.
Seuls les pigeons en manque - ou bien assoiffés - de savoir peuplent les coursives et les cours intérieures de ce magnifique lycée où règne un calme impressionnant - voire monacal - par rapport à l'activité des rues adjacentes.
L'aspect général du bâtiment, tant extérieur qu'intérieur est correct, tellement qu'on pourrait se croire en période de vacances scolaires en y déambulant, et il suffirait d'un bon lessivage des murs et sols avec un chouia de peinture sur les supports acier de plancher légèrement rouillés pour que revive le berceau de nos études secondaires, tristement silencieux aujourd'hui!


Cette photo du lycée due à un autre correspondant a été prise en août 2000:



Le Sport au Lycée

Hubert Cano qui a fréquenté les Falaises et Lamoricière de la 8° à la première, et nous a transmis quelques photos de classe nous envoie également cette photo de l'équipe de basket junior du Lycée en 1954-55
De quoi réveiller des souvenirs et donner des idées à d'autres. Adressez nous vos souvenirs!



Et Robert Jesenberger a retrouvé cette photo d'un match "prof-élèves" pour la St Charlemagne en 54 ou 55 .
Êtes vous capables de reconnaître ces barbus ?



La Presse locale vient à votre secours avec cet article et cette photo un peu défraichie... sur laquelle je reconnais cependant très bien J-P DUCASSE et non DUCANE comme indiqué par erreur ( rangée supérieure - extrême droite )




L'Université d'Oran !

Dans une coupure de presse du 25 Mars 1959 (probablement Oran Républicain) on relève cette photo sur laquelle on est "censé reconnaître":
1° à droite Jean TARLET, au fond de face Henri BELASCO
1° à gauche Annie MARTINEZ, au fond à gauche Louis MIGUES
Tous de Lettres ! Merci aux Taupins qui se reconnaitraient de nous le faire savoir.

Document transmis par Henri Belasco


Les jeunes étudiants d'Oran rêvent d'une Université ! Un article signé de Michel LAVITE nous apprend:

"Il y a au Lycée Lamricière une trentaine d'élèves de classe de Math sup E.N.S.I.1 qui prépare aux concours d'entrée aux Ecoles Nationales Supérieures d'Ingénieurs et une trentaine d'autres en Lettres Supérieures; on trouve par ailleurs une vingtaine de maîtres d'internat qui surveillent les études dans les lycées et collèges en préparant propédeutique, - les stagiaires en pharmacie de la ville, les 150 étudiants de l'Institut juridique oranais et les 170 élèves de la 4° année des Ecoles Normales. En tout quelques quatre cents jeunes filles et jeunes hommes, une élité intellectuelle et morale.

Ces élèves de l'enseignement supérieur viennent de se grouper en une Association des étudiants d'Oran [ ] nous sommes allés les voir dans le local vieillot qu'ils partagent voûte 62, rue Eugène Etienne, avec deux autres associations plus anciennes."
[ ] "Ils se sont groupés autout d'une idée force: Oran est une ville assez importante pour avoir une Université et d'abord dans un proche avenir, trois facultés: Lettres, Sciences, Droit."



A germain, dit Camembert, célèbre clochard d'Oran !

"Tel un autre Diogène, il parcourait la ville, adressant aux passants, Européens ou Arabes, ses remarques à la fois cyniques et profondes leur arrachant un rire crispé mais les forçant à réfléchir sur l'absurdité des temps. Protégé longtemps par sa "folie" il fut pourtant un jour assassiné par le FLN. Des amis anonymes composèrent pour lui cet émouvant poème. Qu'il repose en paix."

Le document suivant a été transmis par : Anne Marie THEODOROU